Királyi egyházak a középkori Magyarországon a királyi kápolna mint lehetséges közös eredet? /

L'étude présente essaie de reconstituer les origines communes possibles des établissements ecclésiastiques privilégiées de la Hongrie médiévale. Ils jouissaient tous - les abbayes béndictines, les collégiales, les prévôtés de Prémontré, les chapelles et les paroisses, ainsi que les deux doyenné...

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Szerző: Kiss Gergely
Testületi szerző: Medievisztikai PhD-konferencia (7.) (2012) (Szeged)
Dokumentumtípus: Könyv része
Megjelent: 2012
Sorozat:Középkortörténeti tanulmányok 7
Kulcsszavak:Egyháztörténet - keresztény - középkor, Magyarország története - középkor
Online Access:http://acta.bibl.u-szeged.hu/65333
Leíró adatok
Tartalmi kivonat:L'étude présente essaie de reconstituer les origines communes possibles des établissements ecclésiastiques privilégiées de la Hongrie médiévale. Ils jouissaient tous - les abbayes béndictines, les collégiales, les prévôtés de Prémontré, les chapelles et les paroisses, ainsi que les deux doyennés de Transylvanie -, d'après des sources tardives (14e—16e siècles) d'une exemption de la juridiction de l'évêque diocésain. L'étude recherche l'origine commune de ce statut juridique. Traditionnellement, la noition « église royale », « chapelle royale » est appliquée à le décrire. Cependant, les termes dont les sources contemporaines se servirent posent des problèmes. L'«église» royale fut mentionnée durant les querelles éclatées autour des droits spéciaux de l'archevêque d'Esztergom dans un sens restreint : prévôté du personnel ecclésiastique de la cour royale, prévôtés et abbayes royaux. La « chapelle royale » soulève, elle aussi, des problèmes. Les sources du tournant des 12e et 13e siècles laissent entendre que le personnel ecclésiastique de la cour royale ait contitué la chapelle royale. D'après les indices du recrutement, le poids des prévôts des collégiales royales fut exclusif parmi les églises royales. Au début du 13e siècle la juridiction archiépiscole - qui fut réservée aux établissements exemptés - s'étendait sur les abbayes et prévôtés royaux (bénédictins, Prémontrés, collégiales). Les autres du groupe des privilégiés mentionnés par les sources tardives (chapelles, paroisses et les doyennés) semblaient être hors de portée de cette institution. Pourtant, durant les querelles juridictionnelles éclatées entre l'évêque de Veszprém, les paroisses de l'entourage de Buda et l'archevêque d'Esztergom les parties se servaient des termes « chapelle royale » et « église royale », pour la première fois en 1296. La mise en équivalence d'elles n'est valable qu'a partir de ce moment. Le statut des doyennés, influencés par les droits des « hospites teutonici » se cristallisait autour d'une fondation royale - le chapitre de Szeben - plutôt au cours du 14e siècles.
Terjedelem/Fizikai jellemzők:77-87
ISBN:978-963-306-160-2