%0 Book part %A Gácsi Anett Erzsébet %D 2013 %G Hungarian %G French %B Szegedi Jogász Doktorandusz Konferenciák %B Állam és jog - kodifikációs kihívások napjainkban %@ 978-963-306-142-8 %@ 2063-3807 %T A tanú vallomásához kapcsolódó relatív vallomástételi akadály(ok) újragondolása(?) %U http://acta.bibl.u-szeged.hu/71272/1/szegedi_jogasz_doktorandusz_konf_003_039-051.pdf %X Dans l’étude, j’ai analysé l’obstacle de l’aveu qui remplit avec contenu l’interdiction de l’obligation de l’auto-incrimination parmi les causes d’immunité qui sont afférents au témoin: „Le témoignage peut être refusé par quelqu’un, qui - sauf le cas d’alinéa (4) - accuserait luimême ou son proche parent de commettre un délit, dans les questions relatives à celle-ci, même si le témoignage n’était pas refusé en vertu du point a)” [La loi de XIX. en 1998. sur la Procédure Pénale, paragraph 82. § alinéa (1) point b)]. Cet obstacle a mérité une attention distinguée parce que le législateur avec la loi de CL. en 2011. [2012. 01. 01.] modifiant (aussi/également) la loi sur la Procédure Pénale – confirmant cette interdiction – prévoit que: si c’est constatable que cet obstacle existe, au delà de l’avertissement général, le membre de l’autorité compétente est obligé d’avertir encore une fois le témoin qu’il n’est pas obligé de témoigner. Dans l’étude j’ai cherché la réponse à la question que pourquoi le législateur, à la suite de la modification, a fait bénéficier seulement cet obstacle relatif de l’aveu d’une protection distinguée; de plus, que cette réglementation nouvelle signifie un changement de paradigme au cours de l’audition de témoin, ou „simplement” est-il question d’élévation au niveau législatif de la pratique déjà existée? J’ai répondu à ces questions par l’indication du point critique du cours (procès) de l’audition de témoin, ensuite par la démonstration des deux éléments d’obstacle relatif de l’aveu, étant en relation avec la modification (déjà) indiquée, soulignés par moi.